Démarrage des travaux fibre à Châteauneuf-de-Vernoux, Vernoux-en-Vivarais, Saint-Apollinaire-de-Rias, Saint-Jean-Chambre, Silhac, Saint-Julien-le-Roux et sur une partie de Chalencon et Saint-Maurice-en-Chalencon
Hier, le Syndicat mixte ADN et le groupement d’entreprises Axione / Bouygues Energies et Services sont allés rencontrer les élus des communes Châteauneuf-de-Vernoux, Vernoux-en-Vivarais, Saint-Apollinaire-de-Rias, Saint-Jean-Chambre, Silhac, Saint-Julien-le-Roux, Chalencon et Saint-Maurice-en-Chalencon sur leur commune ou partie de celle-ci.
Ces travaux impacteront également une vingtaine de foyers sur la commune de Boffres.
Les habitants pourront tester leur adresse sur notre outil d’éligibilité A quand la fibre chez moi ? pour savoir s’ils sont concernés. Le résultat doit indiquer Phase 2 – Travaux.
Pour ce secteur, cela représente :
- 3 110 lignes de fibre optique à construire (1 ligne = 1 foyer/ local d’activité raccordable à la fibre).
- Une ouverture prévisionnelle des services prévue à partir de mi-2024
- Un investissement public de 4,6M € financé par la Communauté d’agglomération Privas Centre Ardèche, le Département de l’Ardèche, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, l’Etat au travers du Plan France Très Haut Débit et de l’Europe (FEDER).
Les travaux dans le détail :
Les travaux de déploiement vont durer entre 6 à 9 mois environ. Ils consistent à effectuer plusieurs opérations :
- des travaux de génie-civil : réhausses de chambres, réparation de réseaux souterrains cassés, consolidation et remplacement de poteaux des réseaux électriques et téléphoniques, création de tranchées pour poser de nouveaux fourreaux lorsque c’est nécessaire ;
- des travaux de câblage : déploiement des câbles de fibre optique en aérien et en souterrain dans les fourreaux ;
- la réalisation des branchements optiques (soudure des câbles) dans les boitiers et locaux techniques du réseau.
Une fois les travaux terminés, le Syndicat ADN livre le réseau construit à son délégataire ADTIM FTTH (exploitant du réseau). Un délai de 3 mois est alors nécessaire pour permettre aux opérateurs FAI (fournisseurs d’accès internet) qui le souhaitent, d’installer leurs équipements dans les locaux techniques du réseau et de pouvoir proposer leurs offres. 10 opérateurs sont aujourd’hui disponibles sur le réseau public ADN.